Umm al-Amad votive inscription, prior to Renan sawing off the inscription
The sawed-off inscription (today in the Louvre) as photographed in Renan's Mission de Phénicie

The Umm Al-Amad votive inscription is an ex-voto Phoenician inscription of two lines. Discovered during Ernest Renan's Mission de Phénicie in 1860–61, it was the second-longest of the three inscriptions found at Umm al-Amad. All three inscriptions were found on the north side of the hill.[1]

Renan stated that “It was traced on one of those cubes of stone, notched on one side, which are frequently found in the neighborhood of temples, and served perhaps to contain votive offerings.” Renan sawed off the part that bore the inscription in order to bring it back to France.[2]

A debate between scholars took place over whether it was dedicated to "Moloch-Astarte" or "Queen [Malik] Astarte".

The inscription is known as CIS I 8. Today it is held at the Louvre, with ID number AO 4830.[3]

The inscription reads:

(1)

LMLK‘(Š)TRT

’L

ḤMN

LMLK‘(Š)TRT ’L ḤMN

To MLK‘(Š)TRT, Hammon-god (sun goddess?)

(2)

’Š

NDR

‘BD’ŠMN

‘L

BNY

’Š NDR ‘BD’ŠMN ‘L BNY

dedicated by 'Abd-Eshmun, for/with my son.

Bibliography

  • Editio Princeps: Renan, Ernest (1862). "Trois Inscriptions Phéniciennes Trouvées à Oum-El-Awamid". Journal asiatique: Ou recueil de mémoires d'extraits et de notices relatifs à l'histoire, à la philosophie, aux sciences, à la littérature et aux langues des peuples orientaux (in French). Société Asiatique. 20.
  • M. Halévy, LA DEUXIÈME INSCRIPTION D'OUMM EL-'AWÂMID, Mélanges d’Epigraphie sémitique (Paris, 1874, p. 57

References

  1. Renan, 1862, “Ces trois inscriptions ont été trouvées sous terre, sur le côté nord du mamelon surmonté de colonnes ioniques et couvert de ruines qu'on appelle Oumm el-Awamid'. Les originaux sont déposés au musée Napoléon III.”
  2. Berger, P. [in French] (1879). L'ange d'Astarté: étude sur la seconde inscription d'Oumel-Arvamid (in French). G. Fischbacher. p. 37. La seconde inscription d'Oum-el-Awamid a été publiée dans la Mission de Phénicie, p. 726 et suiv., pl. lvil. « Elle était tracée, » dit M. Renan, « sur un de ces cubes de pierre, entaillés d'un côté, qui se rencontrent fréquemment aux environs des temples, et servaient peut-être à contenir les objets offerts à la divinité. » On a dû scier, pour la rapporter, la partie qui portait l'inscription. Elle se trouve aujourd'hui au musée du Louvre. L'inscription n'a que deux lignes, et le sens général en est clair : c'est un ex-voto; la formule est celle que l'on trouve d'ordinaire sur ces sortes de monuments. Mais le nom de la divinité soulève un problème qui intéresse au plus haut point la mythologie phénicienne. Depuis la publication de la grammaire de Schroeder, M. Halévy, dans les Mélanges d'Epigraphie sémitique (Paris, 1874, p. 57), M. Meyer, au journal de la Société Asiatique allemande (Uber einige semitische Götter. xxxi, 1877, p. 730), M. Mansell, à la Gazette Archéologique (1879, p. 77) s'en sont occupés, et leurs traductions, fort différentes, n'ont fait que mieux sentir l'importance de ce monument.
  3. AO 4830
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